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La préfecture de Haute-Loire invite à bannir les appels de phare

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L’été a été meurtrier sur les routes de Haute-Loire et l’important trafic engendré par les deux derniers week-end d’août sera particulièrement surveillé par les forces de l’ordre. Ce jeudi 21 août, une opération de contrôles routiers, coordonnée entre la gendarmerie et la police, s’est déroulée en fin d’après-midi en plusieurs points du département.

Informant les automobilistes de « l’alternance de mesures de prévention et de répression », Frédéric Lasserre adresse aussi un message à celles et ceux qui s’adonnent aux appels de phare, pour prévenir les conducteurs qu’ils croisent de la présence de radars.

A lire sur le site du journal Mon43


Rappel sur les appels de phare :
C’est une politesse « citoyenne » pour les uns, une solidarité née de l’oppression pour les autres.

Les appels de phares visent à signaler les contrôles de vitesse et plus généralement la présence des gendarmes ou de policiers aux automobilistes venant sur la route en sens inverse.

C’est parfaitement légal !
Ces signaux n’ont pas pour but de ridiculiser l’action des Gendarmes, ce n’est donc pas un outrage.

Aucune loi n’interdit aux automobilistes de communiquer entre eux, même en cas de contrôle de police.

Par conséquent, les conducteurs ont parfaitement le droit de faire des appels de phares. Cette action ne constitue pas une infraction.

Les forces de l’ordre se vengent ! :

  1. En rédigeant des contraventions illégales et en tentant de culpabiliser par des explications fumeuses les automobilistes. Le Code de la Route prévoit que de nuit, l’utilisation des « plein phares » est puni d’une contravention sanctionnée d’une amende de 135 €, car l’usage des phares peut éblouir les usagers venant en sens inverse. Certains policiers utilisent cet article pour verbaliser les appels de phares en plein jour ! Voici un bel exemple de vendetta policière utilisant la loi à contre-emploi pour verbaliser un comportement qui n’est nullement une infraction ! Astuce et vice de procédure pour la contester : cette contravention ne peut être commise que la nuit, si elle a été rédigée à 13 h l’infraction n’est pas constituée et sera annulée.
  2. On a pu lire, dans quelques journaux cerviles, qu’avertis par les appels de phares, des criminels passeraient entre les mailles du filet policier, cambrioleurs ou voleurs à main armée, auteur d’enlèvement d’un enfant ou d’actes de séquestration …Pour tenter d’éradiquer l’appel de phares, certains n’ hésitent pas à faire de l’automobiliste le complice moral, le co-auteur malgré lui d’un crime puisque par son signal il aiderait activement le criminel à contourner les dispositifs de contrôle routier. Je frémis devant cette gendarmerie qui moralement salit les automobilistes pour justifier sa ponctuelle inefficacité.

Je combattrais toujours cette police qui tord les textes pour sanctionner, au prix de l’illégalité, un signal parfaitement légal.

Maître Iosca

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