Le 31 août 1997, la princesse Diana perdait la vie lors d’un accident de voiture dans le tunnel du pont de l’Alma à Paris. Depuis, plusieurs hypothèses ont été envisagées quant aux raisons de cet accident.
Récemment, une nouvelle révélation a tout remis en question : la Mercedes dans laquelle se trouvait la princesse au moment de l’accident était une ancienne épave accidentée.
C’est à bord d’une Mercedes-Benz S280 que Diana et Dodi Al-Fayed se trouvaient lorsque l’accident s’est produit.
Pascal Rostain, photographe à Paris Match raconte : “En fait la voiture appartenait à l’un de mes amis, un directeur de société d’une grosse agence de publicité, il l’avait achetée neuve en 1994. Et au bout de trois mois, […] la voiture est retrouvée quelques jours plus tard près de Roissy ; elle avait servi à des prisonniers en permission, à regagner leur prison, sauf qu’ils avaient eu un accident et que la voiture avait fait plusieurs tonneaux. La révélation qui est incroyable, c’est qu’en fait cette voiture a été remboursée au propriétaire comme épave ; c’était une épave, elle n’était pas réparable.”
Le photographe ajoute : “Le conducteur habituel de la voiture – jusqu’à deux mois avant l’accident – nous a racontés que cette voiture, oui c’était bien une épave et qu’au delà de 60 km/h il ne la tenait plus. Ce n’est pas qu’un accident, c’est toujours un concours de circonstances. C’est premièrement une voiture dans laquelle elle n’aurait jamais dû rouler parce que c’était une épave ; qu’elle a 14 factures de chez Mercedes en deux ans (soit une visite tous les 2 mois, très mauvais signe pour une voiture qui n’a que 3 ans et dont le modèle a très bonne réputation, et dont la côte sur le marché d’occasion reste très élevée malgré l’âge, même en 2017, ndlr) ; que le chauffeur, Monsieur Paul, on le sait, il n’avait pas son permis de grande remise, il était sous antidépresseurs à très forte dose et qu’il avait 1,64 grammes dans le cornet.”
Il prenait notamment régulièrement du Prozac, un antidépresseur très répandu, du Noctamide, un somnifère, du Tiapridal, un neuroleptique souvent utilisé contre l’alcoolisme, et de l’Aotal, acamprosate indiqué dans le sevrage alcoolique. De tels médicaments ont des notices d’information qui précisent que leur absorption rend “dangereuse” la conduite de véhicules.