Tel est le résultat alarmiste d’une étude menée par Direct Assurance. Dans le viseur des zones à faibles émissions (ZFE) en cours de développement dans toutes les métropoles françaises : les modèles essence et diesel.
C’était marqué en tout petit sur le contrat. La nouvelle loi d’orientation des mobilités (LOM), adoptée en novembre 2019 puis promulguée en décembre, réserve quelques surprises aux usagers. Si tout le monde salue certaines mesures phares, comme la légalisation imminente du rétrofit (pour convertir sa voiture à l’électrique), d’autres, comme l’article 28 de ladite loi, étaient jusque-là passées inaperçues. Le principe ? La mise en place de zones à faibles émissions pour lutter contre la pollution atmosphérique qui touche une majorité de centres-villes, en France comme ailleurs.
Cette mesure invite avec force (pour ne pas dire plus) les principales agglomérations françaises de plus de 100 000 habitants à restreindre leurs accès dès que les seuils de pollution dépassent les normes européennes.
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En 2021 : interdiction Crit’Air 4 (9% du parc auto actuel)
En 2022 : interdiction Crit’Air 3 (31% du parc auto actuel)
En 2024 : interdiction Crit’Air 2 (74% du parc auto actuel)
En 2030 : interdiction Crit’Air 1 (on arrive à un total de 99% du parc auto actuel).
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