Libération, avril 1998 : Le quotidien anglais Sunday Times a relancé ce week-end la polémique sur l’utilisation de corps humains lors des crash tests, en révélant que Renault avait utilisé les cadavres de deux enfants, il y a une vingtaine d’années, pour développer des systèmes de sièges bébé. L’ex-régie n’a nullement démenti. Ces expériences ont été menées par le César (Centre d’études de sécurité et d’analyse des risques), auquel Renault et PSA collaborent. Le professeur Claude Got, qui a participé à ces travaux, a confirmé à l’AFP que le corps d’un enfant décédé a pu être utilisé, grâce à l’accord de ses parents. Un autre, noyé avec sa mère, a subi les mêmes tests avec l’accord de la faculté des sciences, personne n’ayant réclamé son corps.
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