Ce Nantais de 52 ans – qui se trouvait ce jour-là au siège de l’une de ses entreprises – avait pourtant mis en avant cet « événement de force majeure » pour solliciter une première fois l’indulgence des gendarmes du Peloton motorisé (PMO) de Nozay qui l’avaient contrôlé à 21 h 25 sur la 2×2 voies Nantes-Rennes, limitée à 110 km/h.
Me Arnaud Bernard, l’avocat de l’automobiliste, souligne :
Les gendarmes étaient divisés quant au comportement à adopter : alors que l’un souhaitait permettre à mon client de retrouver en urgence sa fille, son binôme s’y opposait, prétextant qu’il avait pour unique tâche de constater l’infraction. »
Les gendarmes n’avaient pas non plus raccompagné l’automobiliste jusqu’à l’institut… ce qui l’avait contraint à ne retrouver sa fille que le lendemain soir : l’accès à son internat n’était plus possible passée une certaine heure de la nuit.
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Illustration : google street view/aperçu de la route où le contrôle a eu lieu