Le cycle de vie d’un véhicule électrique le rendrait aussi polluant qu’un véhicule thermique.
Ce sont là les conclusions d’une étude, déjà ancienne, de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), ignorées par le gouvernement (Elaboration selon les principes des ACV des bilans énergétiques, des émissions de gaz à effet de serre et des autres impacts environnementaux induits par l’ensemble des filières de véhicules électriques et de véhicules thermiques à l’horizon 2012 et 2020, novembre 2013).
La donnée la plus cruciale est que la fabrication des batteries est tellement émettrice de CO2 qu’il faut avoir parcouru de 50 000 à 100 000 km en voiture électrique pour commencer à être moins producteur de CO2 qu’une voiture thermique. Soit 15 à 30 km par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans !
Sachant que ces voitures servent essentiellement à des trajets courts, il est probable que le kilométrage nécessaire pour s’estimer « vertueux » ne sera jamais atteint. De plus, tout le CO2 émis par une voiture électrique est envoyé dans l’atmosphère avant même que ne soit parcouru le moindre kilomètre, alors que la voiture thermique émet son CO2 au fil des ans…
Par ailleurs, il est partout prétendu que la voiture électrique n’émet pas de particules fines. Mais comme le signale le magazine Science et Vie(janvier 2015), « les pneus, les freins et l’usure des routes émettent presque autant de microparticules que le diesel ». La voiture électrique émet certes moins de particules que la voiture thermique, puisqu’elle ne dispose pas d’un pot d’échappement, mais elle possède bien des freins, des pneus, et roule sur le goudron !
Au final, la voiture électrique ne serait pas plus écologique que la voiture thermique. L’argent public consacré à son développement peut donc être considéré comme injustifié. Or, il s’agit de sommes astronomiques :
– le gouvernement a lancé un plan d’installation de 7 millions de bornes de rechargement à environ 10 000 euros pièce, soit un coût d’environ 70 milliards d’euros. Il est d’ailleurs poignant de voir les élus de petites communes, croyant faire un geste pour l’environnement, casser la tirelire municipale pour s’offrir une borne ;
– le bonus « écologique » à l’achat d’une voiture électrique dépasse 10 000 euros par véhicule, souvent complété par une prime de la région. La quasi-totalité des acheteurs sont des ménages aisés : une fois de plus, l’argent de tous est offert aux plus privilégiés.
Compte tenu du bilan mitigé pour les voitures électriques, personne n’aurait l’idée de subventionner au titre du même bilan énergétique des voitures diesel, à savoir offrir 10 000 euros à l’achat d’une voiture diesel, de lui réserver des places de stationnement et de remplir son réservoir à prix cassé…
Une réponse
Il est bien certain que la voiture électrique est, elle aussi, polluante notamment à la fabrication de ses batteries.
Certains avancent que la fabrication des batteries est assez polluante qu’il faut rouler plus de 100000km pour arriver au même résultat qu’avec un voiture à essence. Ceci est totalement faux car les études sur lesquelles s’appuie ces gens n’ont pas pris en compte la pollution de la fabrication de la voiture essence. Par contre La voiture électrique permet d’éviter la pollution des zones urbaines fortement peuplés et donc bien des coûts en santé.
Les freins et les pneus d’un VÉ polluent autant qu’une voiture diesel. Et les freins et les pneus des autres véhicules aussi d’autant plus que sur un VÉ on utilise que très peu les freins
D’autres par plus elle roule plus son taux de pollution diminue, une voiture électrique peu rouler plus d’un million de km à peu de frais contrairement à une thermique.
Les batteries, en fin de vie pour l’automobile seront réutilisées dans des usages domestiques comme les Powerwall, ensuite elles sont entièrement recyclées, contrairement à la croyance et légende urbaine que certains propagent.
https://www.aveq.ca/actualiteacutes/mythe-la-voiture-lectrique-nest-pas-colo-car-sa-batterie-nest-pas-recyclable
Non seulement il y a les Bush, Rothschild qui font du lobby contre la voiture électrique, mais surtout les frères Kosch qui ont la majeure partie de leur avoir dans le pétrole, ils ont mis des millions de dollars pour financer des études bidons et des sites web anti-VÉ pour confondre le peuple et alimenter la crainte du changement.
« En 2014, ils ont investi près de 30 millions de dollars pour influencer les futures élections de mi-mandat de Novembre aux USA. »
https://www.letemps.ch/monde/2014/04/09/pouvoir-occulte-freres-koch