Que ce soit sur le périphérique parisien ou sur les périphériques de grandes villes françaises, que ce soit sur nos autoroutes, que ce soit sur nos routes, les radars, véritables bêtes noires de tous les usagers de la route, sont là pour repérer les conducteurs qui dépasseraient les limitations de vitesse. Installés sur le bord de nos routes depuis fin 2003, ils sont censés ‘’aider’’ les policiers et les gendarmes, qui contrôlent les véhicules.
« Depuis l’installation du 1er radar fin 2003, la répression routière a pris des proportions tellement excessives que 38.000 PV sont dressés chaque jour pour excès de vitesse, 12,5 millions de points de permis sont retirés chaque année, et que sur les 224.000 personnes qui ont vu leur permis invalidé faute de points l’année dernière, 75.000 ont perdu leur emploi instantanément », s’insurge la Ligue de Défense des Conducteurs.
Elle s’oppose fermement à la privatisation des radars embarqués »[3]. Elle va plus loin lorsqu’elle s’inquiète sur le déploiement de cet arsenal répressif, capable, selon elle, de posséder un immense pouvoir de verbalisation, jusqu’à « 9 PV par minute ! ».
Le point culminant de cette répression est la privatisation des radars embarqués.
Source Dominique DUTILLOY – BLASTING NEWS , Rubrique Opinion
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